• Bornéo : trophées des coupeurs de têtes Bidahyu

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  • âmes sensibles s'abstenir... Constant en a eu le vertige

    Il s'agit du sacrifice du cochon sauvage pour la fête de Gawai, la grande fête des Dayaks de Bornéo. Mise à mort du cochon à l'aide d'un bambou bien aiguisé, et grillade aussitôt après. C'est l'esprit de Gawai

    puis on le grille un peu pour enlever les poils...

    et là il est prêt à passer à la broche. on dirait un peu le sanglier d'obelix.

     .

     

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  • Nous sommes à Bornéo et avons décidé d'y poser nos valises deux semaines. Pas mal de travail encore pour les enfants, une envie de nature, et surtout une grosse envie de se poser.

    Quelques bonnes rencontres et quelques conseils, et des vols air asia à prix imbattable, et nous changeons nos plans de départ qui étaient d'aller vite en Indonésie. Pour l'instant, simplicité, facilité et nature ont eu la primeur... et bonne pioche !

    Kuching est une grande ville de province, il y a 600 000 habitants. La population est mélangée : chinois, malais, et indiens, comme ailleurs dans la péninsule malaise, mais en plus il y a les Dayaks, les habitants d'origine de Bornéo (des populations venant principalement du Kalimantan voisin, mais dans la jungle, une frontière c'était un peu abstrait...). Les dayaks sont composés de plusieurs populations, dont la majorité sont les Ibans, vous savez, ces coupeurs de tête qui font la fête, boivent et dansent dans des longhouses, les maisons communautaires. (pardonnez le raccourci, mais ils sont très fiers et très attachés à leurs fêtes).

    Ici la jungle est très protégée, de nombreux parc naturels permettent de marcher, de faire du bateau, d'observer des animaux dans la mangrove ou sur le littoral. Les tortues sont protégées dans des petites iles au nord, les fleurs, singes, crocodiles, dauphins de l'irrawady, serpents, et autres oiseaux (toucans...) peuplent forêts et rivières. Se promener avec un guide permet de les voir. Pour les singes, le bruit qu'ils font les trahit à chaque fois, pas besoin de guide!

    Il est très facile de parcourir la région. Le pays est aussi moderne que dans la péninsule, les transports sont fiables et les prix sont raisonnables.

    Coté gastronomie, c'est aussi 10 sur 10. Il y en a pour tous les prix et tous les goûts. Les chinois confectionnent des biscuits, nougatines et autres douceurs destinées à l'exportation. On croise des restaurants indiens, philippins, musulmans, libanais, chinois... et on se régale.

    En fait, en malaisie, la vie de voyageur est hyper simple. On peut facilement accéder à de belles excursions en tour organisé ou s'organiser par soi même. Les locations de voiture sont raisonnables aussi.

    Tout le monde parle anglais : en traînant dans une libraire, nous sommes restés rêveurs devant les méthodes d'anglais des petits enfants du primaire : géographie, sciences, maths et musique sont enseignées en anglais directement).  On peut faire de bons achats à Kuching, ce sera sans doute moins cher qu'à Singapour. On en profite pour se rhabiller, car en arrivant à Kuala Lumpur, on a pris conscience de l'état de délabrement de nos vêtements et vieilles tongs déformées.

    Coté mer, attention, il faut bien savoir qu'on vient au Sarawak pour la jungle ; il ne faut pas s'attendre à voir des fonds comme dans certaines iles de l'ouest ou comme à Sabbah. Les nombreuses rivières rendent l'eau trouble. Mais la récompense est de taille : se baigner sur des plages désertes, léchées par une épaisse forêt pluviale, au pied des montagnes dans la brume, le tout au son assourdissant des cigales et des oiseaux laisse de très fortes impressions....

    Pour profiter de la forêt, nous avons passé trois nuits dans des cottages qui se trouvent sur la presqu'île de Santubong. Trois nuits et trois jours pour se promener, faire un parcours de canopée avec les singes autour de nous, connaître une fois la pluie diluvienne sur les arbres et les feuilles géantes de la forêt. Les petits écureuils sont nombreux et passent derrière nous après le petit déjeuner. Serpents, gros insectes, et tortues d'eau douce sont bien présents, il faut savoir les voir.  

    Voici quelques photos de nos découvertes.

    La Malaisie vue de Bornéo

    le mont Santubong le matin, le long de la rivière du même nom

    La Malaisie vue de Bornéo

    départ pour l'ile Satang.. on met le bateau à l'eau

     

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

     

     

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

     

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

     

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    et une incroyable tortue d'eau douce parfaitement adaptée à son environnement : plate et orangée comme les feuilles qui tapissent le fond de ce petit lac !... un peu dure à photographier...

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

    La Malaisie vue de Bornéo

     

    La Malaisie vue de Bornéo

     

     

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  • Aujourd'hui, nous avons entendu la sirène des pompiers, nous sommes allés voir dans la rue et avons vu passer un gros camion de pompier qui venait de la caserne du début de la rue.

     

    Juste en face de l’hôtel, en levant la tête nous avons vu une grosse fumée noire sortir d’un petit magasin de fruit.

    L'incendie de Kuching

    Les pompiers sont arrivés et ont déroulé leurs tuyaux.

    L'incendie de Kuching


    Un pompier a déroulé un tuyau pour le brancher sur la borne à incendie mais il était trop court alors il a couru en chercher un autre qu’il a branché au premier. Avant de le raccorder à la borne, il a fait un essai pour savoir s’il y avait de l’eau qui coulait. Une eau marron est sortie de la borne alors le pompier s’est dépêché de brancher le tuyau à la borne.

    L'incendie de Kuching

    L'incendie de Kuching

    Les autres pompiers ont beaucoup arrosé le magasin en feu.

     

    L'incendie de Kuching

    L'incendie de Kuching

    Il y avait beaucoup de fumée alors un pompier a mis son masque et sa bouteille à oxygène. Mais comme il était trop gros, il n’arrivait pas à fermer sa ceinture, il manquait au moins 30 cm ! Cela a pris plus de temps. Une fois équipé il est parti dans la fumée avec une grande lance en bois qui avait un bout en métal en forme de lance et de crochet.

     

     

    L'incendie de KuchingL'incendie de KuchingL'incendie de Kuching

    L'incendie de Kuching

    Nous avons vu aussi quand ils ont ouvert la porte en métal avec des gants. Et là nous avons vu des fruits tout grillés !

    L'incendie de Kuching

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  •  Nos hôtels au Vietnam :

     Notre expérience des hôtels au vietnam n’a pas été très concluante. Nous n’avons à recommander que l’Auberge de Meo Vac, dans le nord du pays, dans le Ha Giang. Il faut réserver en avance. Pour les contacter, il faut contacter l’agence Oriental Bridge sur leur site internet, et faire les réservations par mail. Par téléphone c’est très facile aussi : Hay Li N’Guyen parle très bien français et comprend très bien quelles sont les attentes des français. L’auberge est très belle, c’est une ancienne maison HMong. Le confort est bon, il y a des petites chambres douillettes, et le dortoir est très correct, et les repas sont succulents. C’est une adresse qui circule dans le milieu des expatriés qui séjournent un jour ou deux lors de leur tour en moto. 

     

    Hanoi est une ville plus facile que ce qu’on pensait. Pour l’hébergement, nous sommes allés dans le quartier de la cathédrale et non dans la vieille ville. La cathédrale jouxte le quartier ancien, c’est très pratique et on peut manger partout dans ce quartier. Agoda propose plein d’hotels et des tarifs corrects. Pas de pb avec le nôtre : Rising Dragon Hotel. Propre, calme et pratique pour la chambre quadruple et le king bed où on met trois enfants sans problème.  La ville n’est pas chère pour se nourrir, en revanche on ne fait plus d’affaires. Inutile de tenter de se rhabiller à des prix vraiment compétitifs, et plus de cela leurs tailles sont minuscules. (la Malaise offre beaucoup plus de belles occasions de shopping).

     

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