• Constant

    ConstantLes petits reportages de Constant

  • la bataille de Dien Bien Phu

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  • Voici un petit résumé du centre elephant conservation center ..... en anglais !

     

    SUJET : I’m going to tell you about elephants and about their problems.

     

    ASIAN ELEPHANTS

    In Asia, elephants are different than Elephants from Africa. Asian elephants are smaller than african elephants,  they have smaller ears, The warmer the weather is, the bigger their ears are, because they need to move their ears to refresh.Asian elephants have a smaller trunk than african elephants. The asian females haven’t got tusks, and, if they have some, then they are very small. At the end of their trunk, Asian elepants have only one finger to catch the food.

    There are still elephants in Laos, Vietnam, Thailand, Nepal, Indonesia, Myanmar, India and Sri Lanka’s forests. Elephants can’t stand the heat and they need to take 2 baths per day. They must live in a very dense forest to have enough food. In Laos there are about one thousand and three hundred elephants and in Myanmar, more than five thousand. 

    Why do elephants die in Laos

     In the population of domestic elephants, there are only two births every ten deaths because they are too tired by the logging to have babies. Sometimes, their owner don’t want they have babies because, during the pregnancy, the elephant can’t work during twenty-two months and must take care of her baby about three or six years. The elephants’ work is calling logging. They must pull some logs during 3 or 4 kilometers ! Normaly, elephants can pull logs during a long time but they can’t carry heavy things on their back, not more than one hundred kilos but their neck can do it. Sometimes, they brake their legs that repair in 2 years with a lot of cares. Sometimes, elephants have abscesses or injuries because they carry some very heavy chairs made of wood on their back.

     

    Elephant conservation center  

    In the elephant conservation center, there are six elephants : four females, one male and onee baby male. The center has one hospital and a laboratory with two veterinaries and one biologist, one training and work zone, and one hundred and six hectares of forest, a lake, a pier and a botanic garden . People can stay in an eco-lodge in the center and have dinner in the restaurant.

     

    Elephants are well cared and never hit by their mahout. They have two baths per day. They are trained during the day and they are released in the forest for the night. Elephant are attached to a chain thirty meters long. They have cares every week. The veterinaries team visit other domestic elephants to give them care if they need. The cares are free for every owner exept the transport if the elephant need to come in the hospital. Elephant conservation center make compains to prompt the owner to leave their elephants to have babies. Elephant conservation center tell them that they can use the mother and the baby elephant to make eco-tourism, wich bring back more money that logging. 

     

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  •  Lors de la distribution des parrainages avec l’équipe de bénévoles d’Enfants du Mékong, nous nous sommes rendus dans un village frontalier de la Thaïlande au nord-est de Sisophon. C’est un endroit désertique à la saison sèche et très très chaud.

     

    Le déminage de la frontière

    Le déminage de la frontière

     

     Cette région, le Banteay Manchey est la région la plus pauvre du Cambodge, la plus minée, et celle qui est sortie le plus récemment de la guerre, en 1998 seulement. Car c’est là que les khmers rouges sont restés le plus longtemps et  malheureusement, qu’il y a aussi beaucoup de mines anti-personnel occidentales fournies aux Khmers rouges durant les années 80.

     

    Le long de la grande route défoncée qui relie Sisophon à une petite ville nommé Banteay Chmar, il y a des kilomètres de champs secs, brulés, et parfois minés plus on s’approche de la frontière. Une association américaine (bizarrement, les américains ont fournis des mines et de l’argent pour les armées Khmers rouge), the HALO trust, s’occupe de déminer les champs, entre 10 et 15 kilomètres autour de la frontière.

     

    Le déminage de la frontière

    Le déminage de la frontière

    Le déminage de la frontière

     

    Ces champs étaient utilisés par les agriculteurs de la région depuis plus de 10 ans. Ils travaillaient sur des terrains minés sans le savoir ! Nous nous sommes arrêtés près d’une équipe de démineurs qui se reposaient à l’ombre. Ils quadrillent à pied  des champs entier avec des détecteurs à la recherche de mines anti-personnel. Ils portent un équipement complet : chaussures de sécurité, pantalon renforcés, gilets pare-balles et casque en plexiglass, tout ça par 40 degrés.

     

    Le déminage de la frontière

     

     

    Le déminage de la frontière

     

    Quand ils ont repéré une mine, ils délimitent une zone de 50 centimètres autour d’elle, pose des explosifs à côté, s’éloignent un peu et font tout sauter, puis ils continuent. Les démineurs balisent les terrains déminés par des petits piquets avec une marque rouge à la base. Les terrains miné, ou en cour de déminage sont signalé par des gros piquets rouges et blancs.

     

     

     

    Le déminage de la frontière

      

      

    Une fois partis, ils installent des bornes de béton portant le sigle de l’association. Les habitants peuvent reprendre leurs cultures sans aucuns risques d’accident.

     

    Le déminage de la frontière

     

     

     

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  • L'arrivée au Cambodge

    Nous sommes arrivés à la frontière de la Thaïlande et du Cambodge le 3 mars, après 4 heures passées dans un mini minibus assis à la verticale. En sortant du minibus, même sensation que de rentrer dans un sauna : énorme chaleur sous soleil qui pourrait faire un œuf au plat en une minute.

     

    Nous avons passé la frontière beaucoup plus rapidement que nous le pensions et nous avions été accueillis par Martin Maindiaux, le responsable du centre enfant de Mékong à Sisophon. 

     

     

    Après une heure dans le pick-up du centre, nous arrivons enfin dans un endroit paisible, plein d’enfants. Nous nous installons dans une petite cabane en bois au fond du grand jardin du centre.

     

    Le lendemain, vers 13 H 30 des petites filles qui sortaient des cours viennent nous voir, avec un grand sourire. Après des partis de domino, de Jungle Speed raté et d’UNO, elles repartent encore avec le sourire. Depuis, nous avons leurs visite 5 fois par jour, à n’importe quelle heure : c’est presque difficile de trouver quelque chose de nouveau à leurs proposer …

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  •  Aux alentours de Mandalay, il y un très grand nombre d’artisans, de sculpteurs de bois, de marbre, des fabricant de tong en bambous, des orfèvreries, des tisserand, des fabricants de bonbon. Nous avons visité  une argenterie, à 20 kilomètre de la ville. Quand on rentre dans l’argenterie, on peut tout de suite voir les hommes s’acharner sur des marmites, des vases et pleins d’autres choses, à coup de marteau. Là-bas, chacun a son rôle à tenir. Certains font les motifs :

     

      

     

     

     

     

     

    Ils creusent le relief avec de clous de différente taille, sur une plaque en argent posée sur une pate goudronnée. Ils recouvrent ensuite des bols en bronze avec ces feuilles argentées

      

                        

     

    D’autres aplatissent  le dessous des vases posés sur un pied en métal à coup de marteau

     

    et un dernier colle les bords d’une boite en faisant fondre des petites plaques d’argent pour en faire les joints avec un énorme chalumeau.

     

     

     

     

    A la fin on est vraiment surprit par le résultat, quand on voit la finesse des détails et qu’on sait que tout est taillé avec un marteau et des clous !

     

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