• Le DBYC, Don Bosco Youth Center de Mandalay accueille des jeunes adultes pour des formations, et des enfants des rues, les "Street Children".

    Victor, le bambou EDM est en charge d'encadrer les jeunes adultes pendant leur formation de trois mois, ainsi que de donner des cours d'anglais aux enfants. C'est en passant chez EDM à Bangkok que nous avons fait sa connaissance. En arrivant à Mandalay, nous lui avons fait une petite visite. Dimanche matin, pour la messe à 6h45! jamais levés aussi tôt pour aller à la messe, et une autre matinée pour passer plus de temps.

    Quand nous sommes arrivés, le jeunes étaient en cours d'informatique, mais une coupure de courant leur a bien vite donné l'occasion d'une pause!... il paraît que c'est tout le temps comme ça... pas commode pour étudier!

    Léopoldine et Ambroise ont appris à dire comment ils s'appellent en birman, et montré avec enthousiasme leur diaporama sur leur école de Saint-Lager à quelques enfants qui regardaient attentivement les photos. Puis nous avons sorti Uno et dominos le temps de quelques parties bien animées. Nous avons aussi apporté des cahiers, des vêtements et quelques jouets pour les enfants.  

    Une super matinée, toute simple, détendue, dans ce centre très accueillant, à discuter, rencontrer, en apprendre plus sur la Birmanie, un grand merci à Victor pour son temps et bravo pour son implication !

     

    le centre Don Bosco de Mandalay

     

    le centre Don Bosco de Mandalay

    le dortoir des étudiants

     

    le centre Don Bosco de Mandalay

    Ambroise fait quelques photos dans la cuisine

    le centre Don Bosco de Mandalay

    le centre Don Bosco de Mandalay

     

    le centre Don Bosco de Mandalay

    le centre Don Bosco de Mandalay

    le centre Don Bosco de Mandalay

    et quelques photos de la benne à ordure qui l'intéressait aussi...

     

    le centre Don Bosco de Mandalay

    ce qui n'est pas sans intérêt car il faut savoir que le centre recycle ses déchets, et son eau qui est prélevée dans la mare, filtrée et arrive au robinet prête à être consommée !

    le centre Don Bosco de Mandalay

    le centre Don Bosco de Mandalay

    le centre Don Bosco de Mandalay

     

     

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  •  Nous nous rendons au bureau d’Enfants du Mékong dans le quartier de Sathorn Road pour déposer nos 11 kilos de jeux destinés à Sisophon, et faisons la connaissance des bambous, les jeunes bénévoles qui travaillent dans toute la région. Ils sont nombreux en ce moment à Bangkok pour faire renouveler leurs visas, travaillant dans tous les pays frontaliers, Cambodge, … Vietnam, Nord Thaïlande, Bangkok... Autour de cette équipe d’un jour qui a des airs d’auberge espagnole, nous découvrons leurs actions, dans des programmes très différents les uns des autres.

     

    Certains œuvrent en Thaïlande dans des centres sanitaires qui logent et soignent des enfants atteints du sida, souvent abandonnés par leurs familles. Certains enfants bénéficient de trithérapies et peuvent suivre la classe, pour d’autres il est trop tard et l’équipe de bénévoles et de soignants devient leur seule famille jusqu’à l’heure du départ.

     

    Au nord Vietnam il faut aller dans des zones extrêmement reculées, lutter contre l’isolement et ruser avec les autorités afin de pouvoir visiter les enfants parrainés et faire le suivi des programmes.

     

    Au Cambodge, à Banteay Shmar, une bambou travaille pour les Soieries du Mékong, cet atelier de tissage de la soie, qui transmet un savoir-faire et donne un métier à des jeunes femmes.

     

    Encore une fois nous sommes admiratifs de l’action de ces jeunes qui adoptent leur mission avec beaucoup d’enthousiasme, d’implication et de réflexion. Nous prenons leurs coordonnées afin de pouvoir les visiter.

     

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  • Depuis le début du mois, nous avons un filleul. Il s'appelle Panharith, il a treize ans, et est en 5eme. Il habite le banteay meanchay, au nord-ouest du Cambodge. Sa famille est pauvre et les revenus familiaux ne couvrent pas toutes les dépenses quotidiennes. Afin de pouvoir le soutenir dans la suite de ses études, sa famille a fait une demande de parrainage. 

    Nous avons la chance de pouvoir lui proposer ce soutien financier, et espérons le rencontrer en mars lors de notre séjour au centre d'EDM. Dans cette région, EDM a créé en 1997 un centre d'accueil, d'enseignement et de soutien scolaire. L'organisation et le soutien humain mis en place par EDM sont incroyables, et le directeur et fondateur de ce centre, Martin Maindiaux y œuvre et sert avec un dévouement et une énergie immenses.  

    Le Cambodge semble se relever, lentement de décennies de malheurs, mais a besoin de structures et de se construire.

    Nous nous préparons donc à passer deux semaines dans le centre de Sisophon, pour aider comme on le pourra, passer du temps avec les jeunes, écrire les lettres aux parrains  (sortes de "gazettes" qui donnent des nouvelles des familles parrainées), et rencontrer Panharith.

    Nous ne sous-estimons pas la difficulté et la peur d'être mis en face de la misère et peut être aussi d'un fatalisme sans doute très difficiles à comprendre pour des occidentaux. S'il y a quelque chose à comprendre, on comprendra peut être plus tard. En tous cas le besoin d'y aller, de partager et de faire confiance à ces jeunes est plus fort - l'éducation de ces enfants est essentielle - c'est à peu près notre seule conviction...

    L'enthousiasme de Martin est communicatif, à des milliers de km de distance. Si vous avez le temps, ou plutôt surtout si vous n'avez jamais le temps de lire, alors lisez sa biographie !! (François Foucart, "Martin, une vie d'humanitaire au Cambodge", éditions Arconce).

     

     

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  • Après le thyphon, des news des filleuls des Philippines

    Il y a tout à faire, on peut se mobiliser, pour l'urgence ou dans la durée.

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  • EDM à Saint-Lager

     

    Jeudi 10 octobre, les copains de l’école ont fait connaissance avec notre projet de voyage, et avec l’association Enfants Du Mékong dont la déléguée régionale pour le Rhône est venue présenter l’action dans les classes de CP CE1, et CM1 CM2. Le journaliste du progrès était même là. Les instituteurs ont accepté de donner une matinée pour ce temps de rencontre et initier les échanges.

     EDM à Saint-Lager

     

    L'Histoire de Na-Li, petite fille thailandaise recueillie par EDM et sauvée in extremis d'une vie de malheur a d'abord beaucoup ému les enfants, puis lorsqu'ils ont vu ses lettres à sa marraine, ils ont été étonnés de la gaîté des dessins, des paillettes et des gommettes, des photos souriantes, de l'alphabet apparemment sans queue ni tête. Na-Li a été pour quelques instants, une petite fille pas si loin des petites filles de la classe.

    EDM à Saint-LagerEDM à Saint-Lager

     Ambroise et Léopoldine ont pu approcher cette première réalité de leur voyage entre leurs copains et EDM. 

    Les tonnes de questions des élèves, leur émotion réelle à la vue du petit film de présentation, et leur enthousiasme pour le parrainage ont été un beau moment de partage, et ont je pense sonné le top départ dans leur tête.

     EDM à Saint-LagerEDM à Saint-Lager

     

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