• Dernier bye-bye à la plage devant notre hôtel, pour une petite séance bien posée.

    Au revoir à tous nos gentils et fidèles lecteurs qui nous ont accompagnés sur ce journal de voyage. Nous tournons la page, ce qui suit sera sans doute un peu rude, mais avec un gros cadeau en poche, celui d'avoir été voir le monde quelques temps. Un puits qui devrait nous abreuver longtemps. Et lorsqu'il sera un peu à sec, nous reprendrons nos sacs. Nous n'avons pas monté le mont Kinabalu ni vu les plages de Sabah, pas encore exploré le nord de la Birmanie, dans la forêt des tigres, vers le Tibet, et plus à l'est, l'Australie, la Nouvelle Zélande, la Tasmanie.... Et encore plus à l'est, et encore plus à l'est...  

    Merci à tous ceux qui nous ont aidé depuis la France avant et pendant le voyage car il n'y a pas que le rêve mais aussi beaucoup d'intendance, alors merci aux gentils papas, mamans, frérots, voisins, cousins, amis, et collègues qui ont participé à leur manière.

    Merci à ceux qui ont accueilli, chaleureusement chez eux, cinq Vendeville un peu poussiéreux, pour quelques déjeuners comme à la maison.

    Merci aux Enfants du Mékong pour leur force et leur joie de vivre.

    Nous avons eu beaucoup de plaisir à partager nos découvertes. C'est la fin de ce journal de voyage mais ce que nous avons vu est bien vivant. Alors nous comptons sur tous les rêveurs, voyageurs, aventuriers, poètes qui suivront pour faire découvrir autre chose à tous ceux qui ont les yeux qui trainent. Il y a encore des milliards de rencontres, d'étonnement, de découvertes à vivre, alors à très bientôt pour la suite,

    et à vous les studios !

     

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  • Quelques photos de notre dernier séjour, au pays des fleurs, et des pêcheurs.

    Le village de pêcheurs à l'est de Maumere, qui sera notre point le plus à l'est.

    Ces pêcheurs ramassent le sel et le vendent 300 000 rupiahs soit 20 Euros environ le sac de 50 kilos. C'est plutôt rentable. L'opération consiste à chauffer le sel deux jours durant, et à le faire sécher ensuite au soleil. Le feu d'enfer est entretenu à coup de noix de coco.

    au pays de la mer et du soleil

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    au pays de la mer et du soleil

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     hommage à l'île des pêcheurs...

    au pays de la mer et du soleil

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    ...et hommage à "l'île aux Fleurs"...

    au pays de la mer et du soleil

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  • Croisière "dragon-snorkelling", au pays des merveilles!

    la croisière à Komodo

    jour 1 : départ de Labuan Bajo, vers 12h, tranquille, "plan-plan" comme on dit en indonésien

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    on longe la côte pendant une grande heure, vers le sud. Il y a quelques villages de pêcheurs sur la côte, mais dans l'ensemble, c'est assez désert.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

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    la croisière à Komodo

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    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    arrivée à Rinca, dans le pays national de Komodo, pour venir trembler devant le dragon. Les enfants nous racontent tout ce qu'ils savent déjà, grâce à leur "Youpi" sur les dragons de komodo.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    il est facile de voir les varans à Rinca car ils sont attirés par le camps des rangers.

    la croisière à Komodo

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    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    celui-ci est bien embusqué au bord du sentier. C'est un mâle.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    Le dragon de komodo est une petite bête très sympathique, et un parent aux méthodes radicales. Le mâle mange les œufs, et la femelle ses petits lorsqu'ils ont éclos. Les petits doivent alors se réfugier dans les arbres pour échapper aux dents pointues de leur affectueuse maman. Les femelles se battent pour les nids, et pendant la période des amours, les mâles se battent pour les femelles.

    Pour chasser, les dragons de komodo (les vrais, les plus gros, sont à Komodo uniquement) sont capables de déchiqueter leur proie car ils sont très gros et ont des mâchoires puissantes. Les dragons de Rinca, plus petits, se contentent de mordre. Leur salive contenant plein de bactéries (près de 60 bactéries), elle condamne le gibier à une mort lente, par infection généralisée, deux à trois semaines plus tard. Pour se soulager de l'infection qui gagne, les bœufs et proies se baignent dans les mares et autres marigots, ce qui accélère la fin, et meurent rapidement.

    Alors, les varans peuvent manger leur proie. Seul moment où ils deviennent sociables, puisqu'ils partagent le festin entre eux. L'estomac vide, ils seront de nouveau dangereux entre congénères.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    l'île est sauvage, il y a un village seulement, tout au sud. Elle est peuplée de cerfs, buffles d'eau, et de singes, et d'autres petites bêtes.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    Ce ficus géant a littéralement étouffé un palmier qui se décompose au milieu du tronc.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

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    quelques reliefs des festins entre varans

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

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    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

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    Le premier soir, on s'est arrêté au bord d'une mangrove pour admirer le vol des roussettes. Le soir, ces chauve-souris géantes partent se nourrir de fruits dans la forêt de Florès. Elles parcourent bien 15 km au dessus de l'eau, pour atteindre leur but. Elles sont des milliers à se mettre en route au soleil couchant. Ce sont alors des milliers de petites ailes qui battent l'air, (petites mais larges d'au moins 50 à 60 centimètres d'envergure). ça grouille, dans un silence de coton, c'est très impressionnant et très émouvant. Quand on redescend les yeux, elles sont parties, et on se retrouve sur son bateau, au milieu de la mer et de la nuit noire. Il faut alors repartir pour une petite heure de navigation dans le noir, à la lumière naturelle, pour aller mouiller à l'abri pour la nuit.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    jour 2 :

    en route vers Komodo pour une journée de snorkelling. Pas de marche aujourd'hui, uniquement l'élément eau. Réveil hyper matinal car nous avons une longue traversée.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    petite pose, en bateau, on bricole avec l'appareil photo...

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    On revoit le plan avec notre fier équipage, qui avait prévu un peu large et proposait de nous emmener tout au nord de Komodo, à trois heures de bateau. Comme nous sommes déjà bien fatigués par la courte nuit, on revoit le programme, pour décider de faire un seul site, celui de Pink Beach, puis une visite du village de Komodo. On ne sera pas déçu car la plage est un petit bijou. On y reste plusieurs heures. Tuba, palmes, et barbotage, afin de bien nous remplir de ces merveilles.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    le village de Komodo.

    Ce village de pêcheurs n'est pas touristique, c'est à dire que les visiteurs sont entièrement escortés, on ne peut pas sortir du chemin, et on vous dévisage tout le chemin durant. Ce n'est pas une petite balade incognito, au bord de la jetée en mangeant sa glace. Nous ne sommes pas très à l'aise. Heureusement que nous avons les gars du bateau avec nous.

    Les enfants du village nous accueillent, et nous accompagnent au retour aussi . Entre temps, nous admirons leur adresse à la fronde, combat de rue entre factions ennemies, installées de chaque coté de barricades de barques en bois et de filets de pêche. Les plus petits qui pleurent toujours avant les grands... et les grandes qui portent les bébés.

    C'est une expérience particulière, au milieu de la vie de ces pêcheurs, loin, très loin du monde moderne. On touche du doigt la simplicité absolue. Le travail, la mer, et la pêche, et encore la mer. Mais après tout, c'est aussi ça, le monde d'aujourd'hui ! On ne voit pas ce qui viendrait changer le cours de cette ancestralité.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    puis partie de pêche en fin de journée avec les fils achetés au village de komodo. Ceci n'est que le premier, les enfants ont pu pêcher 18 poissons.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    deuxième nuit, et deuxième matin.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    Nous nous rendons à Manta Point afin de voir si les raies manta sont là. Mais la mer est très agitée, les raies ne sont pas au rendez-vous. Nous repartons donc vers une petite plage pour un dernier saut de snorkelling.

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    Le dernier snorkelling sonne la fin de l'oreille d'Etienne qui a plongé avec trop d'ardeur pour attraper un coquillage. Depuis, elle siffle quand il se mouche... et on entend la mer dans son oreille.

    la croisière à Komodo

    Au retour, nous passons dans les petites îles qui ferment la baie de Labuan Bajo. Elles sont habitées par des villages de pêcheurs Bugis. On y voit aussi quelques bungalows. A part cela, c'est sauvage, la côte, le sable, la lande...

    la croisière à Komodo

    la croisière à Komodo

    Fin de l'aventure. Nous en avons pris plein les yeux. Un bain de lumière et de couleurs. Il faut qu'on en emporte en réserve.

     

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  • La Transflorès, c'est la traversée de l'île de Florès, sur la principale route, la seule qui la traverse d'est en ouest. C'est un peu quatre virages à la minute, soit du 20 km heure, maximum. Une fois qu'on a compris, on lève les yeux, et là c'est cinq jours de paysages de forêt vierge, de rizières, de volcans, de petites églises blanches sur les collines, de palmiers géants, de paysans qui marchent sur les routes avec le coupe-coupe à la main.

     

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    la baie de Labuan Bajo

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

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    l'aventure Transflorès

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    l'aventure Transflorès

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    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    jour 1 : de Labuan Bajo à Ruteng

     

    La transflorès nous a amené à Ruteng, dans le pays manggarai, puis à Bajawa en pays Ngada, Moni qui est le point de départ de la montée au volcan kelimutu, et enfin Maumere. Les peuples Manggarai et Ngada sont proches. Ce sont des populations très anciennes qui ont été rabattues vers l'intérieur des terres avec les invasions macassaries, portugaises puis hollandaises. Ils sont encore animistes bien que catholiques, et vivent dans les maisons en bambou et toit de chaume. Ils pratiquent aujourd'hui encore de nombreux sacrifices et exposent les têtes et cornes de buffles devant les portes. C'est dans cette région qu'a vécu l'homme de Florès", une ramification (à priori les théories se rejoignent) d'homo erectus. Autant dire que ça date!!

      

    jour 2 : de Ruteng à Bajawa

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    vues du volcan Gunung Inerie

    l'aventure Transflorès

     

     

    l'aventure Transflorès

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    jour 3 : aux alentours de Bajawa. Encore le volcan, qui cette fois, a montré son nez.

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

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    La région de Bajawa est sublime, on y voit pendant des dizaines de kilomètres, la silhouette pointue du Gunung Inerie.  Au départ de Bajawa nous avons pu faire une marche sur le wawo wuda. On se balade dans les plantations de café jusqu'aux cratères. L'un deux contient deux lacs jaunes, laissés par l'éruption de 2001. C'est très impressionnant. La marche est très facile, et vraiment agréable avec des enfants. Le registre d'entrée mentionne que nous étions, au moins, les vingtièmes visiteurs depuis janvier 2014... Vous ne croiserez pas beaucoup d'énergumènes avec appareil photo, « barres revigorantes», et microfibre!

     

    l'aventure Transflorès

     

     

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    l'aventure Transflorès

     

    l'aventure Transflorès

    le wawo wuda est un volcan qui a explosé en 2001, créant deux lacs oranges dans le cratère. Il y a encore plein de fumeroles, et des arbres calcinés autour. On ne peut pas y descendre. C'est très impressionnant.

     

     

    l'aventure Transflorès

     

    La nuit que nous avons passée chez l'habitant, dans le village traditionnel de Gurusina, en pays Ngada a été pittoresque, dure, et l'ambiance était impressionnante. Les villages sont des huttes en bambou et toit de chaume autour d’une place en terre battue où se trouvent les mégalithes pour les sacrifices et les maisons des âmes des anciens... Les maisons sont strictement organisées en trois espaces : là où dorment les adultes et les petits, là où on prie, et la dernière pièce est réservée aux grands enfants. Dehors, sur la terrasse, c'est l'espace public : on mange, on reçoit les étrangers. Nous avons dormi sur la terrasse, et avons eu la visite des poules au dessus de nos tête au petit matin. A 4h30 tout le monde se réveille, les petites vieilles reprennent leur place sur l’avant de leur maison, enroulées dans leurs Ikats, et la journée recommence. C'est un voyage dans le temps, au temps des sacrifices, des légendes, des âmes, et des rites de passage. Très fort souvenir. Notre seule frustration est de ne rien connaître de ces peuples. Qui s'y est intéressé pour en parler avec un peu de science?.... Il faudrait qu'on cherche.

    des vues du village traditionnel de Bena.

    Gurusina en est la copie presque parfaite, sans les ventes de tissus à l'entrée des maisons.

    l'aventure Transflorès

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    Lé découverte du Kelimutu est une merveille, les trois lacs ont des couleurs différentes, en plus c'est un endroit sacré peuplé de légendes. Les âmes des morts de la vallée viendraient y reposer.  L'ascension est très facile, il n'y a quasiment rien à parcourir, et il n'est pas nécessaire de partir à 5 heures du matin. On peut très bien y aller vers 8heures, et passer la matinée à redescendre à pied, à travers les jardins et les rizières, pour prendre le temps de sentir le pays autour.

     jour 4 et 5 : de Bena au Kelimutu

    l'aventure Transflorès

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    sur les plages d'Ende, de gros galets bleus sont ramassés pour être exportés au japon. Ils sont très beaux.

    l'aventure Transflorès

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    l'aventure Transflorès

      

    le volcan du kelimutu et ses trois lacs cratères de couleur différente

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    l'aventure Transflorès

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    la descente du volcan à travers les jardins

    l'aventure Transflorès

     

    l'aventure Transflorès

      

    l'aventure Transflorès

    un arbre à papaye (papaye femelle, car l'arbre mâle est stérile)

    l'aventure Transflorès

    eggplants (traduction inconnue), présent dans tous les plats de légumes en asie

    l'aventure Transflorès

    l'arbre à béthel

     

    l'aventure Transflorès

    la feuille et le clou de girofle

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

    graine de café , c'est le robusta qui pousse à Florès

     

    l'aventure Transflorès

    patate douce

    l'aventure Transflorès

    noix de macadamia

    l'aventure Transflorès

    palmier à arak

      

    Après Moni, le village de départ du Kelimutu, nous avons poursuivi jusqu’à Maumere. Maumere est un port sans grand intérêt, mais avec une très jolie baie vers l’est. Nous passons encore 6 jours de repos, cartes postales, lecture et farniente pour finir le voyage. Après ce sera le retour sur Bali, Kuala Lumpur et Bangkok, pour écrire la dernière page de notre grande aventure.

     Florès est une île sublime, sauvage, primitive. Le niveau de développement est très bas, c’est d’ailleurs plus difficile qu’ailleurs d’entrer en contact avec les populations. Les routes se résument à la route nationale qui traverse Florès. Les paysages sont vierges. On y croise et on y entend des myriades d’oiseaux inconnus. On admire les fleurs, les arbres, on peut voir toutes les espèces de plantes exotiques, du clou de girofle au papayer mâle, gingembre, plantes anti-hémorragiques, palmiers à huile, palmiers à arak, palmiers stériles, variétés inconnues d’hortensias, et autres plantes dont on ignore le nom. C’est la plus belle découverte nature de notre voyage. On voit de très près une île encore sauvage. Le confort est très sommaire, ce qui oblige à regarder autour de soi et à ne pas penser à son confort. Il faut y aller pour marcher car il y fait frais en saison sèche. C’est une découverte extraordinaire, qu’il faut prendre à bras le corps , en étant en bonne forme physique car c’est un peu rude. Il y a des treks superbes mais très sportifs à faire sur les volcans. Nous sommes très heureux d'avoir fini par cela.

    Allez, avant la grande traversée vers la France, nous vous faisons partager quelques dernières photos de la route, et des sourires que nous emportons bien fort avec nous !

     

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès 

     

     l'aventure Transflorès

     

    l'aventure Transflorès

    l'aventure Transflorès

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  • Florès est aussi l'île des oiseaux. Un soir, devant notre terrasse, une petite partie de cache cache

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