• 8 mars : les filles s'arrachent les petites fleurs en tissu de Loida!

     

     

    les fleurs en papier réalisées par les filles du foyer enfants 1

     

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  •  La rencontre avec Panarith :

     Nous sommes allés voir Panarith le filleul de papa et maman. J’étais pressé de le voir.

      

    la rencontre avec Panarith

     

     

    la rencontre avec Panarith

     

     

     

     Nous lui avons donné des cadeaux : un ballon de foot, une tenue de foot, et des crayons de couleur pour sa petite soeur. J’étais très content de raconter notre école à Saint-Lager.

     

    la rencontre avec Panarith

     

     

    la rencontre avec Panarith

     

     

     la rencontre avec Panarith

    Il et en grade 7 la grade 7 C’est la 5ème. Il a 13 ans et 2 ans de retard à l’école parce qu’il a un problème à l’œil. Il va à l’école en vélo.

     Ses grands-parents sont à la retraite, ils le gardent parce qu’ils habitent près de l’école. Il va retrouver sa famille à Siem Reap uniquement pendant les vacances.

    la rencontre avec Panarith

     Il dort dans un hamac la nuit, il n’a pas de chambre. La maison de ses grands-parents est grande, et il y a un grand jardin, mais il y a des travaux pour construire la maison de sa tante dans le jardin.

      

    la rencontre avec Panarith

     

    Ambroise.

     

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  •  Lors de la distribution des parrainages avec l’équipe de bénévoles d’Enfants du Mékong, nous nous sommes rendus dans un village frontalier de la Thaïlande au nord-est de Sisophon. C’est un endroit désertique à la saison sèche et très très chaud.

     

    Le déminage de la frontière

    Le déminage de la frontière

     

     Cette région, le Banteay Manchey est la région la plus pauvre du Cambodge, la plus minée, et celle qui est sortie le plus récemment de la guerre, en 1998 seulement. Car c’est là que les khmers rouges sont restés le plus longtemps et  malheureusement, qu’il y a aussi beaucoup de mines anti-personnel occidentales fournies aux Khmers rouges durant les années 80.

     

    Le long de la grande route défoncée qui relie Sisophon à une petite ville nommé Banteay Chmar, il y a des kilomètres de champs secs, brulés, et parfois minés plus on s’approche de la frontière. Une association américaine (bizarrement, les américains ont fournis des mines et de l’argent pour les armées Khmers rouge), the HALO trust, s’occupe de déminer les champs, entre 10 et 15 kilomètres autour de la frontière.

     

    Le déminage de la frontière

    Le déminage de la frontière

    Le déminage de la frontière

     

    Ces champs étaient utilisés par les agriculteurs de la région depuis plus de 10 ans. Ils travaillaient sur des terrains minés sans le savoir ! Nous nous sommes arrêtés près d’une équipe de démineurs qui se reposaient à l’ombre. Ils quadrillent à pied  des champs entier avec des détecteurs à la recherche de mines anti-personnel. Ils portent un équipement complet : chaussures de sécurité, pantalon renforcés, gilets pare-balles et casque en plexiglass, tout ça par 40 degrés.

     

    Le déminage de la frontière

     

     

    Le déminage de la frontière

     

    Quand ils ont repéré une mine, ils délimitent une zone de 50 centimètres autour d’elle, pose des explosifs à côté, s’éloignent un peu et font tout sauter, puis ils continuent. Les démineurs balisent les terrains déminés par des petits piquets avec une marque rouge à la base. Les terrains miné, ou en cour de déminage sont signalé par des gros piquets rouges et blancs.

     

     

     

    Le déminage de la frontière

      

      

    Une fois partis, ils installent des bornes de béton portant le sigle de l’association. Les habitants peuvent reprendre leurs cultures sans aucuns risques d’accident.

     

    Le déminage de la frontière

     

     

     

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  • Nous sommes actuellement au centre Enfants du Mékong de Sisophon, dans la province du banteay mancheay, au nord est du pays. Nous allons passer 15 journées dans ce centre qui accueille des enfants en foyer (sorte d'internats) et des externes aussi dans la journée. Le centre diffuse des cours de soutien le matin , le soir, et pendant les trous si les enfants n'ont pas cours.

    Notre mission consiste à visiter les différents programmes de soutien des enfants, et ainsi donner des nouvelles générales ou plus ciblées aux parrains. ET après il faut après rédiger les rapports. Notre planning est serré, nous avons au moins un déplacement tous les jours, parfois pour nous deux Etienne et moi, parfois avec les enfants. Les journées sont très remplies et la chaleur (du jamais vu pour nous, 38 degrés, pas de vent) n'aide pas à l'efficacité.

    La priorité est de passer du temps avec les enfants du centre. (il y en 446 la journée et 147 en foyer), de faire connaissance, de s'informer sur leur histoire, et de parler de leurs projets. Ils sont tous des histoires difficiles, mais ce sont des enfants comme les autres, qui aiment rire, jouer, ils ont en plus d'aimer aller vers les autres. Nous sommes littéralement assaillis par leurs sourire, leur curiosité, leurs rires.  Ces jeunes sont précieux.

    Les enfants (les nôtres) essaient de tenir le choc de la chaleur. Ce n'est pas facile non plus de rester seuls toute la journée quand nous partons et de prendre conscience du temps que nous avons ici.  Il faut les inciter à aller vers les autres enfants, et ce n'est toujours miraculeux, avec la barrière de la langue et aussi un peu de timidité tout de même.

    Nous vous en dirons plus sur l'activité et les programmes d'enfants du Mékong au fur et à mesure de nos visites. Pour l'instant, la tâche réalisée ici à Sisophon se révèle tout simplement gigantesque. Cela relève d'une incroyable vision d'avenir, de patience, de rigueur, et de cohésion. Le directeur du centre œuvre ici sans relâche depuis 15 ans et a désormais un petit village d'Astérix, comme il se plait à le dire.

    le centre de Sisophon I

    le centre de Sisophon I

    le centre de Sisophon I

    le centre de Sisophon I

    le centre de Sisophon I

     

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  • L'arrivée au Cambodge

    Nous sommes arrivés à la frontière de la Thaïlande et du Cambodge le 3 mars, après 4 heures passées dans un mini minibus assis à la verticale. En sortant du minibus, même sensation que de rentrer dans un sauna : énorme chaleur sous soleil qui pourrait faire un œuf au plat en une minute.

     

    Nous avons passé la frontière beaucoup plus rapidement que nous le pensions et nous avions été accueillis par Martin Maindiaux, le responsable du centre enfant de Mékong à Sisophon. 

     

     

    Après une heure dans le pick-up du centre, nous arrivons enfin dans un endroit paisible, plein d’enfants. Nous nous installons dans une petite cabane en bois au fond du grand jardin du centre.

     

    Le lendemain, vers 13 H 30 des petites filles qui sortaient des cours viennent nous voir, avec un grand sourire. Après des partis de domino, de Jungle Speed raté et d’UNO, elles repartent encore avec le sourire. Depuis, nous avons leurs visite 5 fois par jour, à n’importe quelle heure : c’est presque difficile de trouver quelque chose de nouveau à leurs proposer …

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